Avertissements du « Quatrième Reich »

Après leur visite à Paris et à Bruxelles, la nouvelle ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, s'est rendue en Pologne vendredi, suivie du chancelier Olaf Scholz qui arriva le dimanche. La Pologne est actuellement sous la pression de son voisin belligérant, le Belarus, et de l'Union européenne. L'UE accuse la Pologne de porter atteinte à son système judiciaire et à l'équilibre des pouvoirs dans le pays. Avant les réunions, la Pologne avait ses propres exigences à l'égard de l'Allemagne, sous la forme de paiements importants pour les dommages de guerre datant de la Seconde Guerre mondiale. Tandis que Baerbock et Scholz tentaient d'adoucir les relations, ils furent confrontés à de nombreuses critiques et à la réalité.

Pour saluer le nouveau gouvernement allemand, une campagne d'affichage a été lancée à Varsovie, qui met en scène des hommes politiques allemands de ces dernières années aux côtés de leurs homologues de la Seconde Guerre mondiale. n-tv.de a noté : « Si l'on considère ensuite que les affiches mettent également en scène des médias pro-gouvernementaux, dont la principale source de revenus est constituée de partenariats publicitaires avec des entreprises étatiques, et un institut financé par l'État polonais, on peut supposer que la campagne a été largement financée par l'argent des contribuables. »

Des simples citoyens au sommet du gouvernement, les accusations de la Pologne à l'encontre des projets de l'Allemagne de créer un super-État européen sont sévères.

Par exemple, dans le nouvel accord de coalition de l'Allemagne, le gouvernement a déclaré l'objectif d'établir un « État fédéral » européen. Le maître des marionnettes et le chef du PiS, Jarosław Kaczyński, a déclaré : « Les Allemands ont joué cartes sur table. Ils veulent établir le Quatrième Reich. »

« Le chancelier Scholz et la ministre des Affaires étrangères Baerbock flattent le gouvernement polonais. En retour, ils reçoivent des leçons publiques », commente le Spiegel Online. « La politique étrangère fondée sur les valeurs est-elle terminée avant même d'avoir commencé ? »

Dès la première semaine du règne de ce gouvernement, la réalité a écrasé beaucoup de ses ambitions. Il est difficile de voir comment la Pologne pourrait accepter d'entrer dans une coopération plus profonde avec l'Europe dirigée par l'actuel gouvernement allemand.

Il y a, cependant, un chemin qui mène à l'unité qui sera probablement accepté par la Pologne. Le regretté Herbert W. Armstrong a écrit dans l'édition de janvier 1979 de la Pure Vérité.

Les nations d'Europe se sont efforcées de se réunifier. Elles souhaitent une monnaie commune, une force militaire unique et combinée, un gouvernement unique et uni. Elles ont commencé par le Marché commun. Elles travaillent maintenant à la création d'une monnaie commune. Pourtant, sur une base purement politique, elles ont été totalement incapables de s'unir.

Ce Saint Empire romain ressuscité ne peut être réalisé que d'une seule manière—par les « bons offices » du Vatican, unissant à nouveau l'Église et l'État, avec le Vatican chevauchant et au pouvoir (Apocalypse 17 : 1-5).

En Pologne, l'Église catholique a déjà établi sa domination de manière assez ferme, en travaillant en étroite collaboration avec le gouvernement. C'est remarquable compte tenu de l'histoire du pays derrière le rideau de fer, et pourtant cela avait été prophétisé, comme expliqué dans Il avait raison. Mais l'UE a dérivé vers le sécularisme, refusant de reconnaître l'hérédité commune que tous les pays d'Europe partagent. Mais à mesure que les pressions de l'Europe de l'Est et du Moyen-Orient augmentent, les appels à l'unité européenne se font de plus en plus forts. Les dirigeants européens réaliseront bientôt que leur chemin vers l'unité devra passer par l'Église catholique. Demandez un exemplaire gratuit de notre brochure Il avait raison pour en savoir plus sur les prophéties de M. Armstrong basées sur la Bible et sur la façon dont elles se sont réalisées et se réalisent encore. La Bible a un message pour notre époque, bien que peu le comprennent.