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Appendice

Anita Denunzio/Unsplash

Appendice

Les Anglo-Saxons selon la prophétie (Appendice)

La suite provenant de  Ce qui est prophétisé de se produire, maintenant—à l’Amérique et à la Grande-Bretagne (cinquième partie)

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epuis 1980, les statistiques qu’Herbert Armstrong utilisa pour illustrer la baisse du pouvoir d’Israël ont radicalement changé, ajoutant plus d’impact à la thèse de M. Armstrong. Des paragraphes de l’ancienne édition de cet ouvrage sont cités ci-dessous, avec les statistiques mises à jour:

En 1950, la production pétrolière mondiale approchait les 3,8 milliards de barils. Sur ce totale, les États-Unis en produisaient à eux seuls, plus de la moitié—près de 52%. Le Commonwealth britannique et les États-Unis produisaient, à eux seuls, 60% du pétrole brut, sans compter leurs investissements à l’étranger. Toutefois, en 1966, année fatidique de la fermeture, à Londres, du British Colonial Office sanctionnant la dissolution officielle de l’Empire britannique, il n’était plus question de 60% de la production mondiale, mais de 32%.

En 2008, la baisse a été encore plus évidente, avec la production de pétrole aux États-Unis réduite à seulement 10%. En 2007, la production du Royaume-Uni a chuté à 2% de la production mondiale de pétrole. À la fin de l’année 2007, l’Amérique s’était trouvé dans la position dangereuse d’être dépendant des étrangers pour plus de 66% de son approvisionnement en pétrole.

Auparavant la Grande-Bretagne et l’Amérique extrayaient de leur sol 150% de la production mondiale du charbon. En 1966, leur production n’atteignait plus que 30,9%—soit moins du tiers de la production mondiale!

En 2007, la production du charbon aux États-Unis fut réduite à seulement 16% de la production mondiale et le Royaume-Uni avait tellement épuisé ses gisements de charbon qu’en 2007, ils ont importé approximativement 41 millions de tonnes de charbon.

En 1950, le Commonwealth britannique et l’Amérique produisaient les trois quarts de l’acier dans le monde—les États-Unis, à eux seuls, produisant presque 60%, ou presque 105 millions de tonnes, en 1951. Ils produisaient 133% plus de fonte que tous les autres pays réunis.

Cet index de base en matière de prospérité avait, en 1966, baissé au point d’atteindre 33,6% de la production d’acier (le tiers) et 17,8% (le sixième) de la production mondiale de fonte.

La production mondiale d’acier brut en 2008 était 1.3 milliards de tonnes métriques, et les États-Unis n’en produisaient que 13.5 millions de tonnes, ou 1%, du total mondial. En 2008, la production mondiale de fonte s’élevait à 927 millions de tonnes métriques. L’Amérique produisait 32 millions de tonnes métriques de fonte en 2008, ce qui signifiait seulement 3,5% de la production mondiale, tandis que la Grande-Bretagne produisait seulement 10 millions de tonnes, ou 1% de la production mondiale de fonte.

Les pays anglo-saxons produisaient près de 95% de nickel (produit surtout par le Canada); 80% de l’aluminium et 75% du zinc. En 1966, en revanche, ils ne produisaient plus que 3,6% seulement de tout le nickel, 40,2% de tout l’aluminium et 12,4% du zinc.

Aujourd’hui, les États-Unis et le Royaume-Uni ne produisent plus de nickel (le Canada et l’Australie ensemble produisent 27% du total mondial). En 2008, les États-Unis ont produit 6,6% de tout l’aluminium du monde (le Canada et l’Australie en ont produit 12,7%). Également en 2008, la production du zinc en Amérique était seulement 6,8% du total mondial, et le Royaume-Uni n’était même pas sur la liste des pays qui produisent du zinc (le Canada et l’Australie ensemble ont produit 19% du total mondial de zinc).

En 1950, le Commonwealth britannique était, pour ainsi dire, le seul producteur de chrome (extrait en Afrique du Sud). À eux seuls, la Grande-Bretagne et l’Amérique produisaient les deux tiers de la production mondiale de caoutchouc; ils étaient les principaux fournisseurs de cuivre, de plomb, d’étain, de bauxite et d’autres métaux précieux. En 1966, ils ne produisaient plus que 2,3% du chrome, 23,4% du cuivre, 9,9% du plomb, 6,3% de la bauxite et ils ne produisaient plus d’étain.

En 2008, l’Amérique et le Royaume-Uni ne produisaient plus de chrome, tandis que l’Afrique du Sud (qui ne fait plus partie de l’Empire britannique) continue à dominer la production mondiale avec 45% du total mondial de chrome. La Grande-Bretagne et l’Amérique ne produisent plus de caoutchouc naturel, mais la production de caoutchouc synthétique a augmenté. En 2008, la production de cuivre aux États-Unis avait été réduite à seulement 8% des réserves mondiales (le Canada et l’Australie ensemble en avaient produit 9%). Cette même année, les États-Unis avaient produit 12% des réserves mondiales de plomb (le Canada et l’Australie ensemble en avaient produit 18%). L’Amérique, le Royaume-Uni et le Canada ne produisent pas d’étain ou de bauxite (L’Australie également ne produit pas d’étain, mais c’est un grand producteur de bauxite).

En 1950, le Commonwealth britannique produisait les deux tiers de l’or—approximativement $642 millions—alors que les réserves d’or des États-Unis étaient trois fois plus importantes que celles du reste du monde. Cependant, en 1966, les réserves d’or américaines avaient tellement baissé que le dollar était en sérieuse difficulté.

En 2008, les États-Unis ont miné 9.9% de la production mondiale de l’or. Le Royaume-Uni ne produit presque plus d’or. En 1965, les réserves d’or pour garantir les obligations de dépôt de la Réserve Fédérale des États-Unis n’étaient plus requises. Cette manipulation trompeuse a permis d’éliminer le système monétaire Bretton Woods, le 15 Août, 1971, lorsque le Président des États-Unis, Richard Nixon, élimina l’étalon d’or de l’Amérique et refusa d’échanger les dollars américains à l’étranger pour de l’or. À la suite des crises pétrolières, en 1974 et 1979, la spéculation augmenta le prix de l’or à $970 l’once en janvier 1980. À la fin des années 1990, le prix de l’or dégringola à $253.50 l’once, le plus bas prix depuis 20 ans, ce qui encouragea les banques centrales de plusieurs pays à vendre leurs réserves d’or. La Grande-Bretagne—décrite dans Osée 7:11 comme une «colombe stupide, sans intelligence»—a vendu ses réserves d’or nationales entre 1999 et 2002, et puis, avec le reste du monde, prépara la scène pour une perte de confiance dans la monnaie de papier qui provoquera l’effondrement futur du système de papier-monnaie utilisé par toute l’humanité. Depuis ce temps-là, en raison de la détérioration de la confiance en la monnaie de papier, le prix de l’or augmenta à plus de $1,000.00 l’once en 2008.

Les États-Unis et le Commonwealth produisaient et utilisaient les deux tiers de toute l’électricité produite sur la terre—l’Amérique produisait 283 milliards de kWh en 1948; quant au Royaume-Uni et au Canada, ils dépassaient la Russie, l’Allemagne et la France rassemblées. Mais en 1966, les pays anglo-saxons ne produisaient plus que 20,1%!

En 2006, la production mondiale d’électricité était 18,014.7 milliards de kilowattheures (kWh), selon l’Administration de l’Information sur l’Énergie. L’Amérique produisait 22,6% de ce total, tandis que le Royaume-Uni produisait 2,1% de toute l’électricité produite sur la terre.

Auparavant, la Grande-Bretagne et les États-Unis possédaient plus de la moitié des navires marchands parcourant le globe. En 1966, le pourcentage n’était plus que de 32,5%.

Selon un rapport de la Conférence sur le Commerce et le Développement des Nations Unies, en 2008, la flotte de commerce mondiale comprenait 36,313 navires marchands d’un poids total approximatif de 1.04 milliards de tonnes, dont la Grande-Bretagne possédait seulement 876 vaisseaux d’un poids total de 26 millions de tonnes ou approximativement 2,5% de la flotte mondiale. La même année, l’Amérique possédait 1,769 navires marchands d’un poids total de 39.8 millions de tonnes ou approximativement 3,8% de la flotte de commerce mondiale. Ces chiffres révèlent que durant les 42 ans entre 1966 et 2008, le nombre de navires marchands que possédaient la Grande-Bretagne et les États-Unis fut réduit de 32,5% à seulement 6,3% de la flotte de commerce mondiale! La plus grande partie des tonnes de cargaisons qui entraient et qui sortaient des États-Unis en 1996 furent transportées par des navires appartenant à l’étranger. Une telle statistique surprenante révèle un danger réel et présent pour l’économie et la sécurité nationale des États-Unis!

Les îles Britanniques construisaient plus de vaisseaux que n’importe quelle autre nation au monde. Mais moins de deux décennies plus tard, deux ou trois nations «Gentils» avaient déjà dépassé la Grande-Bretagne et l’Amérique.

En 2005, plus de 90% de toute construction navale fut engagée par le Japon, la Corée du Sud, la Chine et l’Union Européenne, avec la Corée du Sud qui construisait plus de navires que tout autre pays au monde. Les États-Unis, qui a vu sa part du marché navale diminuer progressivement durant les deux dernières décennies, a revendiqué moins de 1% du marché global relié à la construction navale. En plus, à compter de 2007, aucun des dix plus grands ports du monde était situé aux États-Unis ou en Grande-Bretagne.

En 1950, ces deux nations anglo-saxons étaient responsables de près de la moitié du fret par voie ferrée. Mais en 1966, leur volume n’était plus que de 26% du fret ferroviaire mondial.

En 2006, seulement 17% du fret ferroviaire mondial se trouvait aux États-Unis et seulement 1% se trouvait dans le Royaume-Uni.

Il fut un temps où les États-Unis construisaient 73% des automobiles du monde. En 1966, de pair avec le Royaume-Uni, ils n’en fabriquaient plus que 55%—44% étant fabriqués par les États-Unis. Le Japon, la France, l’Allemagne et l’Italie, par contre, ont considérablement augmenté leur production.

Selon l’Organisation Internationale des Manufacturiers de Véhicule à Moteur, le total mondial de la production de véhicule en 2007 était d’approximativement 73 millions d’unités. La production en Amérique était de 10.8 millions de véhicules, qui équivaut a seulement 15% du total. L’Asie, qui est le plus grand producteur de véhicule au monde, avait atteint 42%. L’Europe avait produit 31%.

Les «Trois Grandes» compagnies en Amérique (Chrysler, Ford et GM) en 1998, étaient responsables de 76% des ventes aux États-Unis. En 2008, ce chiffre plongea à environ 47%.

Les tables sont renversées! Il fut un temps où l’Amérique produisait 73% des automobiles du monde, mais en 2007, les manufacturiers étrangers produisaient 85% des véhicules globalement. Maintenant, les manufacturiers étrangers, avec des usines d’assemblage en Amérique du Nord, produisent même la majorité des véhicules vendus dans les États-Unis. En vérité, comme il est écrit dans Deutéronome 28:43: «L’étranger qui sera au milieu de toi s’élèvera toujours plus au-dessus de toi, et toi, tu descendras toujours plus bas»! 

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