À San Francisco, l'errance des accros aux drogues dures en plein cœur de la ville
À San Francisco, il suffit de faire un tour dans le centre-ville pour apercevoir des tentes un peu partout. Il y a 8000 sans-abris. Pour vous donner une idée, c’est presque trois fois plus qu’à Paris alors qu’il y a beaucoup moins d’habitants. Comment l’expliquer ? Nous avons posé la question à "JJ". Il habite le centre-ville et va régulièrement à la rencontre des sans-abris de son quartier. Pour lui, le vrai problème ici, c’est la drogue.
Tous les jours, "JJ" passe devant les mêmes points de deal. "Les femmes que vous voyez là, juste derrière moi, en noir avec des cagoules, ce sont elles qui vendent de la drogue. Justement, là, il y a une vente en cours", nous montre-t-il dans le reportage à retrouver en tête de cet article. "Avec trois ou quatre dollars, tu peux avoir 30 minutes de défonce."
Certes, les policiers patrouillent de temps en temps. Mais hors caméra, ils avouent leur impuissance. En fait, ils sont surtout là pour administrer de la naloxone, un antidote capable d’atténuer les effets d’une overdose de fentanyl. C’est la drogue qui fait des ravages ici. Pas chère, elle est 100 fois plus puissante que la morphine. Mélangée à d’autres drogues, le fentanyl transforme les accros en zombies, le dos voûté.
Dans une large mesure, la drogue, la délinquance et la propagation de maladies transmissibles qui gangrènent les rues de San Francisco sont le résultat des politiques de gauche promues par les politiciens radicaux qui ont successivement gouverné cette ville. Or, la ville de San Francisco n’est qu’un seul exemple de ce qui se passe partout dans les zones urbanisées des États-Unis, où la criminalité monte en flèche tandis que les forces de l’ordre sont privées de fonds et contraintes à l’impuissance.
Comment expliquer cette tendance autodestructrice ? Il s’agit d’une question qui peut seulement être comprise lorsqu’on découvre la raison spirituelle derrière la dégradation de cette nation, autrefois grande. Si vous aimeriez vous pencher sur les faits, lisez notre brochure, L’Amérique sous attaque par Gerald Flurry.